: Vidéo De 2019 à 2020, Agathe raconte son quotidien d'étudiante bouleversé
/2021/12/14/61b8b9866161f_brut.png)
Le quotidien d'une étudiante, en 2019, c'était ça. En 2020, c'est ça. Agathe témoigne.
"Voilà, c'était la fameuse soirée d'intégration qui permet de faire se rencontrer anciens et nouveaux étudiants. Donc malheureusement, cette année elle n'a pas pu avoir lieu. Donc c'est passé à travers des événements tels que jeux ou apéros sur Google Meet", raconte Agathe, étudiante en troisième année d'Information et Communication à la Sorbonne Nouvelle, à Paris. Aujourd'hui, cette étudiante est confinée en Bretagne, loin de son 15 mètres carrés parisien. De la fac en présentiel aux visios, des pistes de ski à la maison parentale… le quotidien d'Agathe n'est plus vraiment le même... et les rêves de vacances non plus. "Déjà que l'université, c'est beaucoup de travail perso, et il faut être investi et quand même organisé, déterminé, pour ne pas lâcher déjà l'université quand on y va en présentiel. Alors là, je pense que c'était un défi encore plus gros de rester accroché aux cours et ne pas lâcher dans ces circonstances-là", développe-t-elle.
Des enseignants moins présents ?
Agathe explique aussi ne jamais vraiment voir ses enseignants. "C'est-à-dire qu'à partir du moment où le premier confinement a été annoncé, il y en a pas mal dont on n'a plus entendu parler", raconte-t-elle avant d'ajouter : "Après, il y a ceux qui postent leurs cours juste chaque semaine à l'heure du cours, et puis voilà on se débrouille avec ça." Mais Agathe salue toutefois la présence plus appuyée de certains professeurs : "C'est aussi grâce à ça qu'on s'accroche et qu'on reste accroché je pense."
Rester positif
Malgré toutes les contraintes, Agathe essaie d'y voir du positif : elle reconnaît, par exemple, avoir acquis une grande autonomie. "C'est vrai qu'on sort, je vais sortir de ma licence l'année prochaine totalement indépendante et avec la capacité d'organisation (...) C'est vrai que j'ai grandi, je pense à tous les niveaux et en partie grâce à ce Covid. Donc c'était "un mal pour un bien" à ce niveau-là", estime l’étudiante.
À regarder
-
Une finale en or : "C'est une famille qui a gagné"
-
Laurent Nuñez, Jean-Pierre Farandou... La liste des ministres du gouvernement Lecornu II
-
Cookie, burger : le croissant à toutes les sauces
-
Sauvetage spectaculaire : hélitreuillé depuis l'Arc de triomphe
-
Retour de S. Lecornu : peut-il tenir ?
-
"Je ne l'ai pas tuée" : Cédric Jubillar réaffirme son innocence
-
Oeufs, à consommer sans modération ?
-
Ours : ils attaquent même dans les villes
-
Ce radar surveille le ciel français
-
On a enfin réussi à observer un électron !
-
"Manifestation des diplômés chômeurs, un concept marocain !"
-
Crise politique : "La dernière solution, c'est la démission du président de la République"
-
Le loup fait taire la Fête de la science
-
Les tentatives de suic*de en hausse chez les adolescentes
-
Défi chips : alerte dans un collège
-
Quand tu récupères ton tel à la fin des cours
-
Ukraine : le traumatisme dans la peau
-
Teddy Riner s'engage pour sensibiliser sur la santé mentale
-
Suspension de la réforme des retraites : les gagnants et les perdants
-
Ukraine : le traumatisme dans la peau
-
L'espoir renaît à Gaza après l'accord de cessez-le-feu
-
Une école pour se soigner et réussir
-
Taux immobiliers : est-ce le moment d'acheter ?
-
La panthéonisation de Robert Badinter
-
Cancer : des patientes de plus en plus jeunes
-
"Le Bétharram breton" : 3 établissements catholiques dénoncés par d'anciens élèves
-
Cessez-le-feu à Gaza : un premier pas vers la paix
-
Quand t'as cours au milieu des arbres
-
Il gravit la tour Eiffel en VTT et en 12 min
-
Pourquoi on parle de Robert Badinter aujourd'hui ?
Commentaires
Connectez-vous ou créez votre espace franceinfo pour commenter.
Déjà un compte ? Se connecter