Changer de lieu de confinement : à quelles conditions est-ce possible ? Nos réponses à vos questions
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La règle générale est claire : vous restez là où vous êtes confiné et vous ne changez pas de domicile pendant l'épidémie de coronavirus. Si par exemple au début du confinement, vous avez choisi de vous installer dans votre résidence secondaire, chez vos parents ou vos enfants et que vous vous y ennuyez désormais, ce n’est pas une bonne raison pour en partir. On ne peut pas non plus changer de logement pour rejoindre des amis, sous peine de recevoir une amende de 135 euros.
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Cependant, des situations particulières permettent de changer de lieu de confinement. Par exemple, si vous devez retourner au travail et que vous ne pouvez pas le faire à distance, vous avez le droit de rentrer à votre domicile. Il s’agit d’un déplacement professionnel.
Si vous devez venir en aide à une personne vulnérable, vous pouvez changer de lieu de confinement. Même chose si vous êtes en fin de location. Les personnes dépressives peuvent aussi rejoindre un autre logement sur avis médical.
Les victimes de violences peuvent quitter leur logement
Si vous êtes victimes de violences, ou que vous vous sentez menacé, vous pouvez aussi quitter votre lieu de confinement. Dans ce cas précis, si vous n’avez pas eu le temps de faire une attestation de déplacement dérogatoire, vous ne serez pas verbalisé par les forces de l’ordre, précise à franceinfo le ministère de l'Intérieur.
Selon Christophe Castaner, les violences conjugales et familiales ont augmenté de plus de 30% depuis le début du confinement. Depuis le 1er avril, les victimes peuvent envoyer gratuitement un sms au 114 pour donner l'alerte.
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