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Des chefs célèbres et des solistes à Paris

Tendance classique Gérard Courchelle Le samedi à 5h55, 14h25, 17h10, 22h55 et 00h55

Une pluie de chefs célèbres et de solistes fameux dans les salles parisiennes.

franceinfo

Radio France

Publié le 01/06/2012 08:11 Mis à jour le 09/05/2014 21:41

Temps de lecture : 1min

Yannick Nézet-Séguin et le pianiste Nicolas Angelich, dimanche 3 juin à 20h au Théâtre de Champs Elysées, dans Brahms et Webern.
Lundi 4 juin, même endroit, même
heure, Simon Rattle et un autre pianiste, Pierre-Laurent Aimard, dans un
programme Fauré, Ravel, Debussy. Jeudi 7 juin, toujours au TCE, Sir Colin Davis
dirigera l'Orchestre National de France et Emmanuel Ax pour le Concerto L'Empereur de
Beethoven puis pour la 7e Symphonie de Dvorak.

La liste serait incomplète sans Claudio Abbado mardi 5 juin à la
Salle Pleyel. Sans le finlandais Mikko Franck, à la tête de l'Orchestre de
Paris, Salle Pleyel, mercredi 6 juin, pour Debussy, Prokoviev et Chostakovitch. Sans
Jérémie Rhorer et son "Cercle de l'Harmonie", au Festival de St Denis jeudi
7 juin à 20h30, pour la Symphonie "Prague" et la "Messe du Couronnement"
de Mozart. Enfin, sans Myung Whun Chung et le Philharmonique de Radio France, Salle
Pleyel vendredi 8 juin, pour la 7e de Bruckner.

Rien de tel que la musique de chambre pour se reposer les
oreilles avec, par exemple, le Quatuor Modigliani.

Les Modigliani avec le clarinettiste Paul Meyer, dans Brahms
et Mozart, mardi 5 juin à l'Opéra de Lille. Avec le pianiste David Kadouch, Salle
Molière à Lyon, vendredi 8 juin : Chopin et Brahms. A la Halle aux grains de
Toulouse, mercredi 6 juin, un pianiste hors-normes : Gregori Sokolov dans Brahms,
Mozart et... Rameau. Le 7 juin à la MC2 Grenoble à 19h30, son jeune collègue
Alexandre Tharaud dans "Piano Song". A Paris, suite du Festival
"Manifeste", avec l'EIC samedi 9 juin à la Cité de la Musique: Berio et
Manoury. Le 8, marquera le début des grandes festivités Haendel au Château de
Versailles.

Vous ne connaissiez pas Napoléon-Henri Reber. Moi non plus !
Ce compositeur refait surface grâce au Centre de musique romantique française.
Une nouveauté sous étiquette Ambroisie : sa 4e symphonie (de 1857) dirigée par
Jérémie Rhorer.