Jeux vidéo. "Xenoblade Chronicles 2", pourvu que ça dure
C'est le voyage imaginaire de ce début d'année, le retour d'une saga japonaise qui ravira les possesseurs d'une console Switch.
Depuis quelques semaines, l’aventure vidéoludique s’est fait un nouveau nom : Xenoblade Chronicles 2 à jouer sur la console Switch, un cantique tout entier dédié à l'imaginaire. Bienvenue à Alrest, un monde littéralement couvert de nuages. La terre ferme, on la trouve sur le dos de Titans volants, sortes de dragons gigantesques capables de supporter faune, flore, nations et villes entières. Chacun dispose de son propre climat, ses reliefs bien à lui.
Le jeune héros de Xenoblade Chronicles 2 s’appelle Rex
Il est scaphandrier de ces mers de cumulus en quête d’objets de valeur à revendre. L’orphelin insouciant accepte un jour une mission secrète contre un gros paquet d’argent, de quoi lui assurer un avenir en or. Rex ne voit pas le piège mortel. Tel le phoenix, il va revenir du diable vauvert accompagné d’une guerrière mystérieuse. Ensemble, ils vont tenter, après moultes aventures, de retrouver le paradis perdu d’une humanité à la dérive.
Xenoblade Chronicles 2, récit initiatique au long cours s’achève d’ailleurs après plusieurs dizaines d’heures d’exploration, voire plusieurs centaines pour les plus acharnés, le tout accompagné d’une bande originale soignée. Ici, chaque recoin recèle de trésors cachés, de beautés multicolores : des lacs, des plaines, des collines, des animaux fantastiques et des batailles mémorables. Ce sont ces combats qui font le sel de l’aventure car même si Rex lève son épée automatiquement, les coups spéciaux exigent maîtrise et stratégie, les ennemis étant parfois particulièrement retors.
Un récit maîtrisé, un monde de curiosités, des affrontements ardus
Xenoblade Chronicles 2 respecte à la lettre le jeu de rôle de l’école japonaise, défaut compris. Animations rigides, missions prétextes, quêtes parfois stupides, mini-jeux sans intérêt, la quantité n’est pas toujours synonyme de qualité. Mais le jeu conçu par le studio japonais Monolith Soft cache un atout décisif : il se joue sur Nintendo Switch, première console de salon portable de l’histoire. Sa durée de vie exceptionnelle peut ainsi se goûter partout, en version nomade. Un argument imparable pour les aventuriers en herbe.
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