Une usagère du métro parisien victime d'une amende pour avoir transporté une plante trop volumineuse

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Salomé, jeune journaliste et usagère du métro parisien, a reçu une amende alors qu'elle transportait une plante jugée trop volumineuse dans les couloirs de la station République. Son histoire, racontée sur les réseaux sociaux, est rapidement devenue virale.

Marie Dupin

Radio France

Publié le 07/05/2025 12:21

Temps de lecture : 1min

Un oiseau de paradis, la plante jugée trop encombrante pour être transportée dans le métro parisien. (IMAGEBROKER/DAD FOTOS / IMAGEBROKER.COM / VIA MAXPPP)

Cette histoire de plante trop volumineuse pour le métro parisien débute dimanche 4 mai, jour idéal pour aller en jardinerie. C'est ce qu'a fait Salomé, usagère du métro, qui est allée se procurer un strelitzia, un oiseau de paradis, une grande plante d'environ 1,30 mètre de haut pour 25 centimètres de diamètre. Avec sa plante dans les bras, elle passe le portique du métro, et là, une agente de la RATP la contrôle et lui explique que sa plante, haute, est un encombrant, et qu'il est interdit de transporter des encombrants dans le métro.

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Salomé se retrouve alors avec une amende de 150 euros, deux fois plus que le prix de son oiseau de paradis. Comme la jeune femme n'est pas du genre à se démonter, elle commence à raconter son histoire sur les réseaux sociaux, expliquant qu'elle était très surprise que porter une plante coûte plus cher que de frauder le métro.

Une plante et un trajet qui coûtent cher

Certes, dans le métro, les bagages volumineux sont interdits, comme le lui a signifié dans un premier temps la RATP, mais il est aussi indiqué qu'il faut tenir compte du contexte, et que sont autorisés les bagages ou objets qui ne gênent pas les autres voyageurs.

En l'occurrence, Salomé ne gênait vraiment personne, d'autant qu'elle était encore dans le couloir. Elle a d'ailleurs été autorisée à prendre le métro avec son oiseau de paradis. Sa plante, qu'elle a baptisée Prune, en rentrant chez elle.