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Formation : cinq jours pour apprendre à créer sa petite entreprise

C'est mon boulot Sarah Lemoine Le samedi à 7h25, 9h25, 11h25 et 13h25, le dimanche à 7h22, 9h22, 11h22, 13h22

Vous avez une idée de business, vous aimeriez créer votre petite entreprise mais vous avez peur de ne pas savoir faire, d'être débordé par la paperasse ? Si votre "truc", c'est plutôt l'action et pas trop l'administration, vous avez besoin d'une formation à la création d'entreprise.

Philippe Duport

Radio France

Publié le 25/10/2013 09:36 Mis à jour le 09/05/2014 23:31

Temps de lecture : 1min

Tous les vendredis, dans "C'est mon boulot", on raconte le parcours de quelqu'un, c'est le plus souvent un ancien salarié, qui a monté sa petite boite. Qui a "inventé son boulot" plutôt que d'attendre qu'on lui en donne un. La plupart sont passés par une formation. Courte la plupart du temps.

Il existe beaucoup d'offres. Pôle Emploi, l'APCE l'agence pour la création d'entreprise, des réseaux qui vous accompagnent comme Initiative France, le réseau Entreprendre, France Active, BGE les boutiques de gestion, l'Adie, aussi. Beaucoup de formations privées aussi bien sûr.

Et puis tout le réseau des chambres de commerce et d'industrie qui propose notamment une formation sur cinq jours, très concrète.

Pote Emploi, un nouveau réseau pour trouver du boulot

Le réseau, on le dit souvent, c'est le meilleur moyen de trouver un poste. Pas forcément le piston, parce qu'on ne peut pas se permettre de favoriser quelqu'un d'incompétent, mais la mise en relation, les connaissances, les connaissances des connaissances. Une arme qui est plus facile à utiliser quand on a fait une grande école : les anciens se donnent des coups de main, des conseils. Pour les jeunes qui n'ont pas ce parcours, un site vient de se lancer. Ca s'appelle "Pote Emploi". C'est réservé aux moins de 30 ans. On tape le nom du métier que l'on veut faire et on entre en relation avec un étudiant ou un jeune professionnel qui a déjà les deux pieds dedans et qui peut donner des conseils, les noms, les codes... Il s'engage à donner une heure de son temps à ce réseautage. Une "démocratisation du réseau" qui a déjà rallié près de 500 volontaires.