Au bureau, il va falloir éteindre la lumière, sinon c'est l'amende
Veillez à éteindre la lumière du bureau ce soir en partant. Depuis hier 1er juillet, les commerces, les lieux publics, mais aussi les entreprises doivent rester dans le noir la nuit, sous peine d'une amende de 750 euros.
L'addition pourrait être salée si vous laissez les néons allumés dans l'open space, ce soir : 750 euros d'amende. Depuis hier 1er juillet la règle s'applique : entre une heure et sept heures du matin, black out pour tout le monde, y compris donc pour les bureaux.
Le ministère de l'Écologie, à l'origine de la mesure, affirme que l'extinction des feux pourra faire économiser l'équivalent de la consommation de 750.000 ménages par an.
Mais c'est tout la journée qu'au bureau on peut participer à une consommation d'énergie moins importante. Cyril Hergott a fondé Riposte Verte, un bureau responsable, qui aide les entreprises à être plus "vertes". Il rappelle que le plus gros des économies, c'est en journée qu'elles sont à faire : 80% des salariés trouvent régulièrement une pièce vide mais toujours allumée. Un simple changement de néons pour des néons modernes permet d'économiser 50% du budget éclairage. En outre, trop souvent, les interrupteurs agissent sur toute la surface d'un open space et on ne peut pas régler assez précisément la lumière selon ses besoins.
Travailler dans le public ne fait plus rêver
Même en période de chômage élevé, c'est ce qui est étonnant, la sécurité de la fonction publique ne fait plus envie : 82% des personnes interrogées pour un sondage commandé par la société de portage salarial Didaxis préfèrent travailler dans le privé que dans le public. Même chose pour les grandes entreprises, les grands noms du CAC40, semblent ne plus faire rêver. Les sondés préfèrent les PME. Et de loin : 75% contre 20% pour les grosses boites. Parmi les raisons invoquées, l'absence présumée de "hiérarchie étouffante" et l'idée d'avoir "une influence sur le cours des choses".
Enfin, l'entreprise idéale, d'après ce portrait robot, est française : plus des deux tiers de l'échantillon souhaitent travailler dans une société tricolore. Même si l'Allemagne n'est pas très loin, avec 20% des sondés qui se voient bien évoluer dans une entreprise dirigée depuis l'outre-Rhin.
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