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Crop tops, Bridgestone, insécurité... Le "8h30 franceinfo" de Valérie Pécresse

8h30 franceinfo Marc Fauvelle, Renaud Dély, Matteu Maestracci et Jean-Jérôme Bertolus Du lundi au dimanche à 8h33

Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France, était l'invitée du "8h30 franceinfo", jeudi 17 septembre 2020.

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Publié le 17/09/2020 10:32 Mis à jour le 17/09/2020 11:55

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Valérie Pécresse, président de la région Île-de-France, sur franceinfo. (FRANCEINFO / RADIOFRANCE)

Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France, était l'invitée du "8h30 franceinfo", jeudi 17 septembre 2020. Tenue vestimentaire des lycéennes, "ultra-violence" des jeunes, situation sociale chez Bridgstone... Elle répond aux questions de Marc Fauvelle et Sahlia Brakhlia.

"On ne va pas à l'école pour montrer son nombril"

D'abord interrogée sur le mouvement d'humeur des jeunes filles qui, pour des centaines d'entre elles ont décidé de porter des tenues provocantes au lycée, la présidente de la région Île-de-France leur a répondu. Valérie Pécresse "adore les crop tops", dit-elle, mais d'ajouter : "L'école ce n'est pas comme on veut."

Il y a des jeunes filles qui veulent s'habiller pudiquement, il y a des jeunes filles qui revendiquent de s'habiller de manière plus provocante, il peut y avoir un milieu entre les deux.

Valérie Pécresse
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Face à "l'ultraviolence" des jeunes, il faut "repenser la chaîne pénale"

Ensuite interrogée sur franceinfo sur les récents affrontements entre bandes de jeunes qui ont eu lieu à Paris et à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), l'élue francilienne a estimé qu'il existe "un sentiment d'impunité dans la jeunesse".

Ce que je constate c'est que les sanctions ne sont pas efficaces aujourd'hui. On a une justice qui est engorgée. On ne se donne pas les moyens de réussir à trouver des mesures qui dissuadent.

Valérie Pécresse
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Bridgestone : "Il faut aller récupérer les subventions"

La présidente de la région Île-de-France a enfin réagi à l'annonce de 863 suppressions d'emploi dans l'usine de fabrication de pneus Bridgestone à Béthune (Pas-de-Calais). Pour Valérie Pécresse, "dans le cas des entreprises qui seraient vraiment des entreprises voyous, c'est-à-dire des entreprises qui auraient pris les subventions et qui mettraient la clé sous la porte, il faut que l'Etat attaque et il faut qu'on ait des mesures de rétorsion."

Retrouvez l'intégralité du "8h30 franceinfo" du jeudi 17 septembre 2020 :