Affaire Jubillar : des zones d'ombre persistent avant le procès en septembre

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Article rédigé par franceinfo - I. Delion, N. Perez, D. Breysse, F. Pelé
France Télévisions

Quatre ans après la disparition de Delphine Jubillar, le procès de son mari Cédric débutera devant la Cour d'assises du Tarn le 22 septembre.

Dans le Tarn, un homme sans emploi consacre tout son temps à la recherche de Delphine Jubillar. Dès la disparition mystérieuse de la jeune mère de famille, il y a plus de quatre ans, il a participé à des battues citoyennes avec la gendarmerie. Alors que l'enquête est close, il continue. Avec un détecteur de métaux, il cherche des traces. "Ça m'est déjà arrivé de trouver un bijou, et de le remettre à la gendarmerie", confie-t-il.

Pas d'aveu et pas de cadavre

Dans l'affaire sans cadavre ni aveu, il ne peut se résoudre à une disparition pure et simple. "Je vais faire tout ce qu'il faut pour continuer à tenter de retrouver son corps, pour la ramener à la maison", dit-il. À Cagnac-les-Mines (Tarn), la maison est inhabitée depuis l'incarcération de Cédric, le mari de Delphine, accusé du meurtre de sa femme. Son procès, qui s'ouvrira le 22 septembre, est très attendu dans le village. "On est tous dans le flou", confie une femme. Cédric Jubillar, lui, a toujours clamé son innocence.

Regardez l'intégralité du reportage dans la vidéo ci-dessus

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