Valérie Trierweiler se confie sur sa rupture "sans préavis" avec François Hollande
Désormais ex-Première dame, Valérie Trierweiler a profité du deuxième jour de son voyage en Inde pour se confier à des journalistes. Francetv info résume ses principales déclarations.
Elle ne s'était pas beaucoup livrée la veille en conférence de presse. Valérie Trierweiler a choisi de revenir sur sa séparation avec François Hollande, mardi 28 janvier, au deuxième jour de son voyage humanitaire en Inde.
L'ancienne Première dame a rencontré les journalistes au matin, autour d'un petit-déjeuner, précise i-Télé. Sans micro, ni caméra. Francetv info vous résume les confidences de Valérie Trierweiler.
La rupture : "sans préavis"
La séparation du couple avait été annoncée par un communiqué personnel de François Hollande, où le président affirmait avoir "mis fin" à sa vie commune avec Valérie Trierweiler. "Une lettre de licenciement", avait estimé Nathalie Kosciusko-Morizet. Non, réplique l'intéressée selon RTL, il s'agit bien d'une rupture car il n'y a pas eu de "préavis". Ce qui ne l'empêche pas de rester en bons termes avec son ex-compagnon : "Nous ne sommes pas en guerre et nous continuons de nous appeler."
Pour expliquer sa situation conjugale, Valérie Trierweiler blâme le pouvoir. L'ancienne Première dame a laissé entendre que si François Hollande n'avait pas été élu président, "ils seraient toujours ensemble", rapporte BFMTV. "Ils n'avaient plus de vie" à l'Elysée, où elle n'avait "jamais rêvé d'entrer", raconte RTL. "Ça a cassé quelque chose", glisse-t-elle selon Europe 1.
Le statut : une Première dame utile
Valérie Trierweiler ne renie pas le terme de Première dame. "C'est important qu'il y en ait une à l'Elysée", estime-t-elle. Qu'adviendrait-il sinon de la femme du président chinois en cas de visite d'Etat en France, interroge-t-elle en guise d'exemple.
Désormais loin de l'Elysée, Valérie Trierweiler fait le bilan sur ces mois passés au cœur du pouvoir. Elle en garde un souvenir en particulier, explique i-Télé : avoir accompagné à Cabourg des enfants qui voyaient pour la première fois la mer. L'ex-compagne de François Hollande n'a qu'un regret, affirme Europe 1 : son tweet de soutien à Olivier Falorni, élu député en 2012 face à Ségolène Royal.
L'avenir : l'engagement humanitaire
Valérie Trierweiler prévoit d'abord de prendre un peu de repos dans les jours qui viennent, une fois rentrée à Paris, annonce i-Télé. L'ancienne Première dame ne craint pas la médiatisation : "Lorsqu'on m'aura vu deux ou trois fois faire des courses, je pense que les paparazzis s'arrêteront", espère-t-elle, selon Le Figaro.
Une chose est sûre : la politique, c'est terminé pour elle. "Je suis vaccinée, on ne mesure pas à quel point il y a de la trahison et de l'hypocrisie, on prend des coups sans l'avoir demandé. Ce ne sont pas mes codes", confie-t-elle d'après RTL.
L'ancienne compagne de François Hollande va désormais se consacrer à l'humanitaire et "pourquoi pas" revenir vers le journalisme. Elle doit d'ailleurs écrire sa chronique culturelle qu'elle tient dans Paris Match.
À regarder
-
Avions : quand des batteries prennent feu
-
Affaire Epstein : le prince Andrew renonce à son titre royal
-
Grandir à tout prix
-
Cédric Jubillar : 30 ans de prison pour meurtre
-
Mal de dos : comment le soigner
-
Faire des têtes au foot, c'est stylé, mais...
-
En Chine, le plus haut pont du monde est devenu une attraction touristique
-
Quand t’es collé en forêt
-
À Marseille, la Bonne Mère retrouve sa couronne
-
Meurtre de Lola : ce qu’il s’est passé
-
Chili : un miracle dans le désert
-
Faux diplômes : tricher pour se faire embaucher
-
Vignes : des algues pour remplacer les pesticides
-
Du Maroc au Népal, en passant par Madagascar, la génération Z structure ses luttes sur Discord
-
À Londres, le café c'est dans les toilettes
-
De la propagande russe dans nos infos locales
-
Ordures ménagères : une taxe toujours plus chère
-
Temu, Shein... ça va coûter plus cher ?
-
C'est très compliqué dès qu'on parle de la France
-
Départ anticipé d’E. Macron : “La seule décision digne qui permet d’éviter 18 mois de crise”
-
Donald Trump : le Venezuela dans sa ligne de mire
-
Hommage à Samuel Paty : des minutes de silence "inutiles" pour sa sœur.
-
Avion low cost : payer pour incliner son siège
-
Otages français en Iran : l'appel de détresse de leurs familles
-
Cédric Jubillar : ses défenseurs passent à l'attaque
-
Salomé Zourabichvili : "La Russie utilise la Géorgie comme test"
-
Se faire recruter dans l’armée par tirage au sort ?
-
La détresse de Cécile Kohler et Jacques Paris, otages en Iran
-
Le fléau des courses-poursuites à Los Angeles
-
Se soigner risque-t-il de coûter plus cher ?
Commentaires
Connectez-vous ou créez votre espace franceinfo pour commenter.
Déjà un compte ? Se connecter