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Valérie Trierweiler s'engage, le journalisme "n'est plus une priorité"

La compagne de François Hollande inaugurait jeudi une fontaine dans l'Oise, en tant qu'ambassadrice de la fondation Danielle Mitterrand. Valérie Trierweiler en a profité pour dévoiler un peu plus comment elle concevait son rôle de première dame, "j'ai compris que je pouvais être utile" a-t-elle indiqué.

Clara Beaudoux

Radio France

Publié le 18/10/2012 14:54 Mis à jour le 02/05/2014 15:05

Temps de lecture : 2min

Quatre mois après l'affaire retentissante de son tweet, Valérie Trierweiler a reconnu jeudi qu'elle avait "tâtonné au début ". La compagne de François Hollande s'exprimait lors d'un déplacement à Chambly, dans l'Oise, où elle inaugurait une fontaine de la fondation Danielle Mitterrand-France Libertés, dont elle est devenue ambassadrice.

"Je ne me substitue pas à la mémoire de Danielle Mitterrand, je reprends le flambeau. Elle portait de très beaux combats (...) avec de grandes valeurs, donc j'essaierai de mettre mon petit pas dans les grands pas de cette figure de la gauche ", a indiqué la première dame sur France 3 Picardie.

Inauguration ce matin de la fontaine Ona à Chambly pour la Fondation Danielle Mitterrand. L'eau bien commun de l'humanité. @Francelibertes
— Valerie Trierweiler (@valtrier) October 18, 2012

"Cet engagement humanitaire n'est pas né comme ça du jour au lendemain"

"On ne devient pas comme ça première dame du jour au lendemain, mais j'éprouve maintenant une grande joie à faire ce genre de choses et je continuerai ", a déclaré Valérie Trierweiler, entourée d'enfants et de journalistes. "J'ai compris qu'on attendait des choses de moi, j'ai compris que je pouvais être utile et ça me touche énormément de savoir que je peux être utile ", a-t-elle assuré.

Inaugurant une fontaine censée promouvoir auprès des jeunes le respect et l'importance de l'eau saine et publique, elle a déclaré : "Vous savez, ce n'est pas facile pour moi de faire ça devant autant de caméras, autant de photographes. J'ai déjà eu l'occasion de faire des choses mais vous ne le saviez pas. Cet engagement humanitaire n'est pas né comme ça du jour au lendemain ", a-t-elle insisté.

La journaliste de Paris Match a également expliqué que sa carrière journalistique "n'est pas complètement entre parenthèses, mais elle n'est plus la priorité ".