Lebranchu refuse la présidence de l'Assemblée, selon Vidalies
Selon son collègue au gouvernement Alain Vidalies, la ministre de l'Etat Marylise Lebranchu ne souhaite pas être candidate la présidence de l'Assemblée, ce que le Premier ministre a accepté.
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Selon son collègue au gouvernement Alain Vidalies, la ministre de l'Etat Marylise Lebranchu ne souhaite pas être candidate la présidence de l'Assemblée, ce que le Premier ministre a accepté.
Le ministre chargé des Relations avec le Parlement, Alain Vidalies, a confirmé mercredi que sa collègue de la Réforme de l'Etat et de la Fonction publique, Marylise Lebranchu, ne souhaitait pas être candidate la présidence de l'Assemblée, ce que le Premier ministre a accepté.
Invité de l'émission "Questions d'Info" LCP/Le Monde/AFP/France Info, M. Vidalies a d'abord confirmé qu'un consensus s'était dégagé à la tête de l'Etat et du Parti socialiste en faveur de la candidature de Mme Lebranchu au "perchoir".
"La réalité? c'est que la candidature de Marylise Lebranchu avait été envisagée par un certain nombre d'entre nous", a-t-il dit. "C'était susceptible d'être le résultat d'une démarche très consensuelle", a-t-il ajouté à la question de savoir si Jean-Marc Ayrault et Martine Aubry la soutenaient.
De fortes pressions pour qu'elle se présente
Mardi, plusieurs sources avaient reconnu que la ministre de la Réforme de l'Etat et de la Fonction publique était soumise à de fortes pressions pour se porter candidate à la présidence de l'Assemblée nationale.
Elle refusait toujours d'y céder mardi après-midi, ce que Claude Bartolone, un des trois candidats déclarés, avait lui-même expliqué devant la presse à l'Assemblée avant le conseil national du PS.
"J'ai eu Marylise Lebranchu qui m'a personnellement confirmé qu'elle ne serait pas candidate", avait déclaré le député de Seine-Saint-Denis.
"A l'heure qu'il est, elle a dit non"
M. Vidalies a confirmé le refus de Mme Lebranchu. A la question de savoir si cette candidature était "enterrée", il a répond mercredi: "A l'heure qu'il est, elle a dit non." "Et on peut pas forcer quelqu'un qui ne veut pas d'un poste...", lui a fait remarquer un journaliste. "Cela serait étrange d'annoncer une candidature quand la personne a un autre projet parfaitement respectable", a rétorqué M. Vidalies, sans plus de précisions.
Selon une source gouvernementale, Mme Lebranchu, âgée de 65 ans, souhaiterait en effet ne pas prolonger son activité politique au-delà de trois ans.
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