François Hollande annonce "la fin de sa vie commune" avec Valérie Trierweiler
"Je fais savoir que j'ai mis fin à la vie commune que je partageais avec Valérie Trierweiler", indique-t-il à l'Agence France-Presse.
/2023/07/06/64a68815cd1a7_placeholder-36b69ec8.png)
/2014/01/25/RTX10JCT_1.jpg)
Il avait promis de clarifier la situation rapidement. Quinze jours après la révélation par Closer de sa relation avec l'actrice Julie Gayet, François Hollande a annoncé à l'Agence France-Presse (AFP), samedi 25 janvier, "la fin de sa vie commune" avec Valérie Trierweiler. Précisant qu'il s'exprimait à titre personnel et non en tant que chef de l'Etat, car s'agissant de "sa vie privée", il a déclaré : "Je fais savoir que j'ai mis fin à la vie commune que je partageais avec Valérie Trierweiler."
L'information a été divulguée à la veille du départ de Valérie Trierweiler pour l'Inde. L'ancienne compagne de François Hollande doit visiter un hôpital à Bombay, où l'ONG Action contre la faim (ACF), qu'elle soutient, finance un programme de pâte nutritionnelle pour enfants mal nourris. François Hollande n'aura donc pas attendu le 11 févier, date butoir du voyage présidentiel aux Etats-Unis, pour clarifier sa situation de couple. Samedi soir, la Maison Blanche a fait savoir que Barack Obama comptait rencontrer François Hollande "comme prévu", ce jour-là.
Valérie Trierweiler simplement "consultée"
Pourquoi le président a-t-il choisi de faire cette annonce de cette manière, et non dans un communiqué commun ? "La décision est celle du président de la République", a répondu l'Elysée à un journaliste du Monde.
Pourquoi pas de communiqué commun mais une annonce à la 1e personne ? "La décision est celle du président de la République", répond l'Elysée
— Thomas Wieder (@ThomasWieder) January 25, 2014
Selon le Journal du Dimanche, le président de la République a pris l’initiative de sa rupture avec ValérieTrierweiler. "Il l'a consultée et mise au courant, elle accepte la situation de fait, mais elle lui laisse l'initiative de son acte", explique son entourage au Parisien.
Valérie Trierweiler avait été hospitalisée huit jours à la Pitié-Salpêtrière, à la suite d'un "coup de blues", le lendemain de la publication de Closer. Elle en était ressortie le 18 janvier, pour se rendre dans la résidence présidentielle de la Lanterne, près du château de Versailles.
Quelques heures après l'annonce de la séparation, elle a réagi via Twitter, en remerciant "l'extraordinaire personnel de l'Elysée".
Toute ma gratitude va à l'extraordinaire personnel de l'Elysée. Je n'oublierai jamais son dévouement ni l'émotion au moment du départ.
— Valerie Trierweiler (@valtrier) 25 Janvier 2014
À regarder
-
Vol des bijoux au Louvre : sept minutes pour un casse spectaculaire
-
Au cœur de la traque des migrants
-
Mouvement "No Kings" aux États-Unis : sept millions d'Américains sont descendus dans les rues contre Donald Trump
-
Allocations familiales : vers un coup de rabot ?
-
Un braquage a eu lieu au Louvre dimanche matin à l'ouverture
-
Avions : quand des batteries prennent feu
-
Affaire Epstein : le prince Andrew renonce à son titre royal
-
Grandir à tout prix
-
Cédric Jubillar : 30 ans de prison pour meurtre
-
Mal de dos : comment le soigner
-
Faire des têtes au foot, c'est stylé, mais...
-
En Chine, le plus haut pont du monde est devenu une attraction touristique
-
Quand t’es collé en forêt
-
À Marseille, la Bonne Mère retrouve sa couronne
-
Meurtre de Lola : ce qu’il s’est passé
-
Chili : un miracle dans le désert
-
Faux diplômes : tricher pour se faire embaucher
-
Vignes : des algues pour remplacer les pesticides
-
Du Maroc au Népal, en passant par Madagascar, la génération Z structure ses luttes sur Discord
-
À Londres, le café c'est dans les toilettes
-
De la propagande russe dans nos infos locales
-
Ordures ménagères : une taxe toujours plus chère
-
Temu, Shein... ça va coûter plus cher ?
-
C'est très compliqué dès qu'on parle de la France
-
Départ anticipé d’E. Macron : “La seule décision digne qui permet d’éviter 18 mois de crise”
-
Donald Trump : le Venezuela dans sa ligne de mire
-
Hommage à Samuel Paty : des minutes de silence "inutiles" pour sa sœur.
-
Avion low cost : payer pour incliner son siège
-
Otages français en Iran : l'appel de détresse de leurs familles
-
Cédric Jubillar : ses défenseurs passent à l'attaque
Commentaires
Connectez-vous ou créez votre espace franceinfo pour commenter.
Déjà un compte ? Se connecter