Joe Biden affirme se sentir "bien", deux semaines après l'annonce de son cancer de la prostate
Mi-mai, les services de Joe Biden avaient annoncé que l'ancien président démocrate avait été diagnostiqué d'une forme "agressive" de cancer de la prostate avec des "métastases osseuses".
C'est sa première déclaration publique depuis l'annonce de son cancer de la prostate. L'ancien président américain Joe Biden a affirmé à la presse, vendredi 30 mai, se sentir "bien" et "optimiste" pour l'avenir. "Le pronostic est bon. Vous savez, on travaille sur tout. Ça avance. Donc, je me sens bien", a déclaré Joe Biden, 82 ans. "Nous sommes tous optimistes sur le diagnostic. En fait, l'un des meilleurs chirurgiens au monde travaille avec moi", a-t-il ajouté, s'exprimant après un événement marquant le Memorial Day, jour férié honorant chaque année les soldats américains morts en mission.
Les services de Joe Biden avaient annoncé le 18 mai que l'ancien président démocrate avait été diagnostiqué quelques jours plus tôt d'une forme "agressive" de cancer de la prostate avec des "métastases osseuses". Ce cancer est de niveau 9 sur le score de Gleason, qui évalue les niveaux d'agressivité de cancers de la prostate sur une échelle allant jusqu'à 10.
"Nous allons battre" la maladie
Le démocrate a expliqué vendredi avoir décidé de suivre un régime dans le cadre de son traitement. "Notre prévision, c'est que nous allons battre" ce cancer, a-t-il ajouté. "Ce n'est dans aucun organe, mes os sont solides, ça n'a pas pénétré. Donc, je me sens bien", a-t-il répété.
L'annonce de son cancer a ravivé les spéculations, alimentées par son successeur Donald Trump et le camp républicain, autour d'une possible dissimulation de l'état de santé déclinant du démocrate par son entourage au cours de son mandat. Joe Biden s'était retiré tardivement de la course à la présidentielle de 2024, sur fond d'inquiétudes quant à son état de santé après un débat calamiteux face à Donald Trump.
Interrogé vendredi sur cette controverse, l'ancien président a assuré ne pas regretter s'être initialement présenté à la présidentielle pour un second mandat. Il a en outre estimé que ses opposants démocrates auraient dû le défier, mais y avaient renoncé car il les "aurait battus".
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