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Attaque du 7 octobre en Israël : les blessures invisibles des survivants

Publié le 26/09/2024 20:57

Temps de lecture : 1min - vidéo : 7min

France 2 - M. Burgot, S. Yassine, M. Benoliel, H. Nalbandian

France Télévisions

Presque un an après les attaques du Hamas en Israël, le 7 octobre 2023, les victimes sont traumatisées. Plusieurs rescapés témoignent de leurs difficultés.

Le 7 octobre 2023, la vie de Sabine Taasa, franco-israélienne, rescapée du kibboutz de Netiv HaAsara, a basculé. L'un de ses fils et son mari ont été tués par les terroristes du Hamas. Elle était parvenue à s'enfermer dans la pièce blindée de sa maison avec l'un de ses enfants. Les deux autres enfants, également rescapés, sont, selon elle, "très traumatisés".

"Pourquoi je suis encore là ?"

Avant le 7 octobre, Hadas Kalderon vivait dans le kibboutz de Nir Oz avec trois de ses enfants. Rescapée, elle a survécu après s'être cachée dans une pièce blindée. Ses enfants, cachés dans des buissons, ont été repérés par des terroristes et sont devenus otages à Gaza, comme leur père, Ofer Kalderon. Ils ont été libérés en novembre, après 52 jours de détention, mais leur père est toujours captif dans l'enclave palestinienne.

Shavel Biton, 25 ans, rescapé du festival Nova, souffre de stress post-traumatique. Il a le sentiment de ne pas mériter d'être encore vivant. "Pourquoi moi, je suis encore là ? […] Comment je remercie Dieu ?", demande-t-il.

Regardez l'intégralité du reportage dans la vidéo ci-dessus.