: Vidéo Après les incendies, l'Australie subit averses de grêle et tempêtes de poussières
Des grêlons de la taille de balles de golf sont tombés, lundi, sur Canberra. Des branches d'arbres ont été arrachées et de nombreuses voitures ont été endommagées.
Les phénomènes météorologiques extrêmes n'épargnent pas l'Australie. Après les gigantesques incendies, plusieurs régions de l'est de l'île-continent ont subi de violentes averses de grêle. C'est le cas de Canberra, la capitale, lundi 20 janvier. Des grêlons de la taille de balles de golf ont arraché des branches et endommagé de très nombreuses voitures. Les services de secours ont demandé aux habitants de mettre leurs voitures à l'abri et de ne pas les laisser sous les arbres ou les lignes électriques.
Dans le même Etat, mais à 400 km de là, la ville de Dubbo a été balayée par une tempête de sable monumentale, dimanche. Le Bureau de météorologie a exhorté les habitants de la Nouvelle-Galles du Sud, y compris ceux de Sydney, à se préparer à l'arrivée de la tempête. "De violents orages risquent de faire des dégâts, de générer des vents destructeurs, peut-être d'énormes grêlons et de fortes précipitations susceptibles d'entraîner des crues soudaines dans les prochaines heures", a indiqué le Bureau.
Matchs annulés lors de l'Open d'Australie
Melbourne, capitale de l'Etat de Victoria (sud), a également essuyé un très violent orage de grêle, dimanche soir. Lundi après-midi, tous les matchs prévus en extérieur dans le cadre de l'Open d'Australie de tennis ont dû être reportés en raison d'intenses pluies. Cette première étape du Grand Chelem avait déjà vu ses qualifications compliquées, la semaine précédente, par une très mauvaise qualité de l'air en raison de la fumée des incendies.
Dans cet Etat, où des feux brûlent toujours, les précipitations ont été accueillies avec soulagement, mais les autorités ont aussi mis en garde contre les risques accompagnant ces fortes pluies. Le Premier ministre du Victoria Daniel Andrews a notamment évoqué les dangers pour les personnes maniant des véhicules lourds pour accéder aux zones touchées par les incendies. Le risque de glissement de terrain est également réel dans des zones montagneuses, dont le couvert végétal a brûlé.
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