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Trois auteurs présumés de l'attaque d'une bijouterie mardi à Lyon ont été interpellé, a annoncé mercredi le parquet

Un quatrième homme dont le rôle reste à définir a égaement été mis en garde à vue. Un ou deux autres malfaiteurs sont toujours recherchés.Trois d'entre eux, âgés de 22, 23 et 25 ans, comptent "très certainement parmi les auteurs du braquage" et la situation du quatrième homme "est plus compliquée", a précisé le procureur de la République.

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Publié le 03/06/2010 18:46

Temps de lecture : 2min

La Police Lyonnaise après le braquage d'un bijouterie en centre-ville, le 01/06/2010 (AFP/JEAN-PHILIPPE KSIAZEK)

Un quatrième homme dont le rôle reste à définir a égaement été mis en garde à vue. Un ou deux autres malfaiteurs sont toujours recherchés.

Trois d'entre eux, âgés de 22, 23 et 25 ans, comptent "très certainement parmi les auteurs du braquage" et la situation du quatrième homme "est plus compliquée", a précisé le procureur de la République.

L'un d'eux, un détenu qui se trouvait en liberté surveillée lors du casse, a été retrouvé dans la prison qu'il avait regagnée mardi soir à moto.

Les enquêteurs soupçonnent la bande d'être à l'origine d'une dizaine d'attaques de bijouteries dans la région depuis le mois d'octobre et du cambriolage du casino lyonnais Le Pharaon, début avril, où avaient opéré cinq hommes cagoulés.

Les enquêteurs ont pu mettre rapidement la main sur une partie des malfaiteurs et le butin d'environ un million d'euros car les box que ces derniers louaient à Caluire, dans la
banlieue lyonnaise, étaient surveillés par la PJ.

Rappel du casse
Cinq hommes grimés en policiers et lourdement armés ont fait irruption mardi en début d'après-midi dans une bijouterie du centre de Lyon, où ils ont cassé les vitrines pour s'emparer de la totalité de la collection exposée. Le butin en poche, ils sont repartis avec leur butin, à bord d'une voiture munie d'un gyrophare.

Repéré depuis longtemps par la police lyonnaise, celle-ci s't vite rendu compte que la gang parttait pour un braquage, à la vue de son équipée. Raison pour laquelle, certains de ses membres ont été arrêtés à l'issue du braquage. "Ils étaient munis de Kalachnikovs dont les cartouches étaient engagées et ils n'auraient pas hésité à tirer", a déclaré le directeur adjoint de la PJ locale.