L'animateur Christophe Dechavanne condamné à 1 200 euros d'amende pour conduite sous stupéfiants en récidive
Il avait été contrôlé positif à la cocaïne après un excès de vitesse le 17 août sur une route de l'Allier.
Christophe Dechavanne a été condamné en son absence, jeudi 20 février, à 1 200 euros d'amende et à l'annulation de son permis de conduire devant le tribunal correctionnel de Moulins (Allier) pour conduite sous l'emprise de stupéfiants en récidive. L'animateur a été reconnu coupable et condamné à 120 jours amende de 10 euros, une annulation de son permis de conduire avec impossibilité de le repasser avant six mois et la confiscation de son véhicule.
Le 17 août 2024, Christophe Dechavanne a été contrôlé positif à la cocaïne à l'issue d'un excès de vitesse à Toulon-sur-Allier (Allier), alors qu'il avait été condamné pour des faits similaires à Blois en 2021. Le ministère public avait réclamé une amende de 1 500 euros sous forme de jours amende, ainsi que des stages de sensibilisation et l'annulation de son permis de conduire avec interdiction de le repasser pendant huit mois.
L'avocat de l'animateur, Dylan Slama, qui a plaidé la relaxe, a remis en question la validité des tests salivaires réalisés. Il a, par ailleurs, plaidé la "bonne foi" de son client et repris sa thèse d'une "consommation passive". Sa relation avec une femme ayant consommé de la cocaïne l'aurait contaminé mais il a assuré ne pas avoir consommé de cocaïne depuis sa dernière condamnation.
L'animateur a fait appel
"Monsieur Dechavanne n'est pas un consommateur de matières stupéfiantes, quelles qu'elles soient", tous les tests réalisés depuis "le prouvent", a déclaré le conseil, qui a annoncé à l'issue de l'audience avoir fait appel de cette décision. "Le jugement est caduque et monsieur Dechavanne est présumé innocent des faits qui lui sont reprochés", a-t-il déclaré, estimant que la procureure "avait établi qu'il n'était pas un consommateur habituel de matières stupéfiantes".
Le présentateur de "Ciel mon mardi !" et plus récemment de "Quelle époque !" avec Léa Salamé encourait jusqu'à quatre ans de prison et 9 000 euros d'amende. Dans une interview accordée au Parisien, Christophe Dechavanne avait nié toute dépendance, disant connaître l'origine des rumeurs et avoir tenté d'y mettre fin.
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