Malus écologique : il sera difficile d’y échapper en 2025

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Article rédigé par franceinfo - L. Bazizin, K. Douti, J. Maviert, X. Roman, S. Giaume, F. Bohn, J-A. Balcells, E. Rassat, J-B. Robert
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Les acheteurs de voitures neuves non électriques vont devoir mettre la main au porte-monnaie. Le malus touche désormais quasiment tous les modèles du genre ?

Le malus écologique est une taxe obligatoire à payer lors de la première immatriculation du véhicule. Depuis samedi 1er mars, avec le durcissement du malus, de plus en plus de voitures neuves diesel ou essence, même petites, sont concernées. C'est le cas pour la première fois du modèle Peugeot 208. Pour ce véhicule, le malus s'élève désormais à 150 euros. Il est de 125 euros pour une Clio et de 75 euros pour une Toyota Aygo. 

Acheter des véhicules plus vertueux

Ce n'est qu'un début : le malus va continuer d'augmenter. Pour un Renault Captur, le malus est de 330 euros en 2025, il sera de 851 euros en 2027. De quoi encourager l'achat de véhicules plus vertueux. "Le malus, c'est vraiment un signal prix. C'est une façon pour les acteurs publics de dire que l'intérêt collectif du pays est d'aller vers l'électrique", explique Léo Larivière, expert en transition automobile du cabinet Transport et Environnement. Avec la hausse du malus écologique, l'État espère également récolter 810 millions d'euros cette année.  

Regardez l'intégralité du reportage dans la vidéo ci-dessus

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