Le chanteur américain Aaron Carter, très populaire chez les ados dans les années 2000, est mort à 34 ans
Aaron Carter avait participé à des tournées avec The Backstreet Boys et Britney Spears, faisant les premières parties de leurs concerts.
Le chanteur pop et hip-hop américain Aaron Carter, devenu célèbre au tournant du millénaire avec son album Aaron's Party (Come Get It), est décédé samedi 5 novembre à l'âge de 34 ans, a rapporté le média spécialisé TMZ.
Selon TMZ, Aaron Carter, qui était le frère cadet du Backstreet Boy Nick Carter, a été trouvé mort dans sa baignoire dans sa résidence de Lancaster, en Californie. Un porte-parole de la police contacté par l'AFP a déclaré qu'une personne décédée a été découverte au domicile du chanteur samedi matin, mais s'est refusé à confirmer l'identité de cette personne. L'agent d'Aaron Carter n'a pas répondu dans l'immédiat aux sollicitations de l'AFP.
Né le 7 décembre 1987 à Tampa, en Floride, Carter avait commencé sa carrière musicale dès l'âge de 7 ans. Il avait 9 ans lorsqu'il avait sorti son premier album, Crush on You, en 1997. Sorti en septembre 2000, Aaron's Party (Come Get It) s'était vendu à trois millions d'exemplaires aux Etats-Unis et l'avait immédiatement propulsé au statut de coqueluche des ados et pré-ados. Aaron Carter avait participé aux tournées de The Backstreet Boys et Britney Spears, en faisant les premières parties. En 2001, son album Oh Aaron, dans lequel il chante en duo avec son frère Mick, avait remporté un disque de platine.
Dettes et désintoxication
Même si sa popularité s'était un peu estompée avec l'âge, Carter continuait à apparaître régulièrement dans des émissions télévisées et à publier de nouvelles chansons en ligne. Mais sa vie privée mouvementée, notamment des querelles d'argent au sein de sa fratrie de cinq, avait fait de lui la proie des tabloïds, et il avait entamé en 2011 une cure de désintoxication. En 2013, criblé de dettes, notamment fiscales, il s'était déclaré en faillite. Il avait également eu de nombreux ennuis avec les autorités, principalement pour possession de stupéfiants et conduite dangereuse.
Plus tôt cette année, il avait affirmé au Daily Mail qu'il aspirait à ne plus être considéré comme une "épave". "Je ne suis pas ce que certaines personnes essayent de dépeindre", avait-il plaidé. "Si quelqu'un veut me traiter d'épave de train, alors je suis un train qui a subi de nombreux accidents et a déraillé pour de nombreuses raisons".
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