Etrillé par Michel Polnareff à ONPC, Christophe Rocancourt va porter plainte
Dans son autobiographie, Michel Polnareff accuse "l'escroc des stars" Christophe Rocancourt de lui avoir soutiré plus de 250.000 dollars. Mais ce sont les propos que le musicien a tenus samedi dernier dans l'émission "On n'est pas couchés" sur France 2 qui l'ont fait sortir de sa réserve. L'avocat de Christophe Rocancourt a annoncé que son client allait porter plainte contre la star.
"C'est un sinistre personnage", accuse Polnareff
Michel Polnareff était invité samedi dernier de l'émission de Laurent Ruquier pour la promotion de son autobiographie "Spèrme" où il règle ses comptes notamment avec l'homme d'affaires Bernard Seneau qu'il accuse de l'avoir ruiné ou Christophe Rocancourt qu'"une poubelle ne voudrait pas pour sac".Alors que le chanteur aux indéfectibles lunettes blanches était interrogé lors de l'émission sur une escroquerie à 250.000 dollars dont il dit avoir été victime, il a affirmé que "c'est sûrement beaucoup plus que ça, mais c'est tout ce qu'on peut prouver".
"C'est un sinistre personnage comme il l'a prouvé", a-t-il continué, en racontant être tombé sous l'emprise de Christophe Rocancourt, devenu son "meilleur ami" dans les années 90. "J'étais dans une extrême solitude (...) j'avais eu une rupture (...) ce mec a un charme fou (...) il est irrésistible (...) c'est un artiste dans son domaine (...) j'avais besoin d'un ami", a-t-il confié sur le plateau de l'émission de France 2.
"Pure affabulation" répond Rocancourt
"L'affirmation de monsieur Polnareff, qui se plaint d'avoir été escroqué de 250.000 dollars, sans bien sûr avoir déposé la moindre plainte, relève naturellement de la pure affabulation", a déclaré l'avocat de M. Rocancourt, Me Jérôme Boursican dans un communiqué. Ce dernier a indiqué que la plainte visait à la fois le musicien et les éditions Plon qui ont publié son autobiographie, baptisée "Spèrme".Surnommé "l'escroc des stars" pour avoir abusé dans le passé de célébrités du monde entier, Christophe Rocancourt avait été condamné en février 2012 à Paris à 16 mois de prison, dont huit ferme, ainsi qu'à 578.000 euros de dommages et intérêts pour abus de faiblesse au préjudice de la réalisatrice Catherine Breillat.
Il est mis en examen pour "blanchiment de trafic de stupéfiants" dans la retentissante affaire du vol de plus de 50 kg de cocaïne au siège de la police judiciaire (PJ) parisienne en juillet 2014.
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