: Grand entretien "Je crois que méditer la mort devrait être une pratique quotidienne" : Oliver Laxe et Sergi Lopez nous expliquent pourquoi "Sirat" est une "bombe"
Ce film explosif du réalisateur franco-espagnol a reçu le Prix du jury au festival de Cannes en 2025.
Sergi Lopez attend sagement assis sur un petit fauteuil, et il entame la conversation en toute décontraction pendant qu'Oliver Laxe termine un entretien avec un autre journaliste. Quand on le rejoint, tee-shirt blanc, grand sourire, il se lève (il est immense), pour nous proposer un chocolat, "un chocolat de la Suisse", précise-t-il avec un petit accent espagnol, qu'il a en partage avec Sergi Lopez.
Une atmosphère paisible règne dans ce petit jardin d'un hôtel parisien, qui contraste avec l'ambiance de Sirat, le dernier film du réalisateur franco-espagnol, qui raconte dans une mise en scène stupéfiante l'aventure d'un père à la recherche de sa fille dans une rave en plein désert, au Maroc.
Cette quête va conduire Luis (Sergi Lopez) et son fils, Esteban, sur des routes plus dangereuses. Commence alors pour lui, et pour la bande de ravers qu'il a décidé de suivre dans l'immensité brûlante du Sud marocain, un voyage dans l'extrême, qui les confronte à la force de la terre, aux éléments, à la vie dans ce qu'elle a de plus originel, et de plus brutal, et aussi, à la mort. Cette folle épopée se transforme alors peu à peu en quête intérieure, comme un réveil au monde. Sirat, prix du Jury au Festival de Cannes 2025, ex aequo avec The Sound of Falling, sort en salles le 10 septembre.
Franceinfo Culture : Comment est née l'idée de ce film ?
Oliver Laxe : C'était une période où j'habitais à Tanger. J'avais en tête des images de camions qui traversaient le désert. Des voitures qui traversent un paysage blessé, comme le paysage marocain, c'est une image archétypale du voyage intérieur, aussi, peut-être. Et puis une teuf s'est organisée dans la palmeraie dans laquelle j'habitais, à Agdz. J'ai vu tous ces teufeurs, et j'ai senti ces images, qui étaient dans un tiroir, s'incarner. La teuf, ce n'est pas seulement la fête, c'est le voyage. Et je me suis dit super, ça entre en résonance, ça donne une nouvelle dimension à ces images. Et ensuite, je les ai travaillées sur le dancefloor. Elles ont commencé à prendre vie dans ce moment précis où j'étais en train de danser.
J'étais très connecté à tous les gens qui m'entouraient, à leur lumière, à leurs blessures. Un dancefloor, c'est un lieu puissant au niveau des énergies, de l'inspiration. Et donc, le film est né comme ça, peu à peu, de façon très organique, de manière très liée à mon inconscient, et à l'inconscient collectif. On essaie toujours de garder un peu ça, cette pureté des premières images.
Et vous, Sergi Lopez, quand vous avez reçu le scénario, quand vous l'avez lu, comment vous avez réagi ?
Oliver Laxe : Il n'arrêtait pas de se marrer à chaque seconde.
Sergi Lopez : Oui, j'ai trouvé que c'était une comédie très légère [rires] Non, non, je... Oui, ça m'a secoué. Ça m'a énervé aussi. Et surtout, j'ai tout de suite senti que j'avais envie de le faire.
C'était un défi pour vous ?
Sergi Lopez : Pas seulement un challenge. L'idée de challenge pour les acteurs et les actrices, je m'en fous un peu. Pour moi, l'important, c'est le film. Et c'était un scénario qui avait tout ce dont on peut rêver. On rêve de lire un truc inattendu, qui ne ressemble à rien, qu'on ne sait pas à quoi comparer. Et ce film, au départ, ça ressemble à un film d'aventures, et puis il y a un truc qui arrive, une énormité... dithyrambique. Et après, ça change, ça devient autre chose, ça va vers un voyage plus profond, plus spirituel. C'était un scénario qui était habité par un esprit particulier. Il y avait une écriture, il y avait un point de vue, je sentais qu'il y avait quelque chose à faire.
Comment s'est passé le tournage ?
Sergi Lopez : Le tournage, ça s'est passé très bien. C'était très sympa.
Ça n'a pas été trop dur, les conditions de tournage, dans le désert ?
Sergi Lopez : Non. Enfin, oui, c'est dur, la chaleur, la soif, le vent, le sable dans la gueule... Attendre. Attendre dans une tente, dans un désert... Mais en même temps, quand on jouait, ça nous alimentait. Et ça, c'est bien. C'est ça, le cinéma, c'est une force pour nous, pour les acteurs et les actrices, d'être inscrits dans un paysage qui est vrai, qui est réel. Là, quand tu te tournais de tous les côtés, il n'y avait rien. Il y avait le désert, et c'est tout. Et ça, ça aide à être possédé par quelque chose. Après, quand la journée de tournage était terminée, le soir, le pick-up nous ramenait à l'hôtel. Donc, c'était moins dur pour nous que pour les personnages [sourire].
Est-ce qu'il y avait une intention, qu'est-ce que vous vouliez dire avec ce film ?
Oliver Laxe : Je ne voulais pas dire, je voulais faire sentir. On parle trop dans les films. On veut dire peut-être trop de choses, c'est trop logique, ça stimule trop la tête, et je pense que le cinéma, l'art en général, doit inviter à d'autres niveaux de perception. Parler d'intentions, d'idées... C'est tellement complexe cette question de savoir comment on fait un film. Ce sont des images, des idées, des accidents arrivent, et le film se fait de lui-même. Faire l'archéologie des intentions dans un processus créatif, c'est compliqué. Là, par exemple, je redécouvre le film. Qui dit la vérité ? Mon conscient ou mon inconscient ?
C'est un film sur la mort ?
Oliver Laxe : À ce moment-là de ma vie, j'étais dans une quête spirituelle, dans une démarche d'approfondissement de ma pratique du soufisme. Et bien évidemment toute spiritualité, toute pratique spirituelle se fait autour de la mort et de la question de notre finitude. C'est la question de ce qu'il y a après.
"Je suis issu d'une société qui essaie de s'échapper, de se soustraire à la mort, qui cache, qui ne regarde pas l'intérieur. J'ai senti que personnellement j'avais besoin d'expérimenter cette question de la mort, et j'avais envie d'inviter les spectateurs à une cérémonie, à un rite de passage."
Oliver Laxeà franceinfo Culture
Je crois que méditer la mort devrait être une pratique à peu près quotidienne. Mais je ne suis pas un cynique, je ne suis pas un nihiliste, j'ai de l'espoir dans l'être humain et dans le futur. Et j'avais envie que les spectateurs sentent qu'on s'approche d'un monde en mutation et d'une nouvelle ère.
Et vous, Sergi Lopez, au moment où vous tourniez, qu'est-ce qu'il y avait dans votre tête ?
Sergi Lopez : Il y avait de la joie...C'est tout.
De la joie ? Pourtant votre personnage en prend plein la figure, il est dans la douleur la plus extrême...
Sergi Lopez : Il y avait de la joie, dans le sens où je me rends compte, pas seulement avec ce film, mais quand même, particulièrement avec ce film, à quel point j'ai un lien profond, un lien émotionnel, avec mes personnages, et à quel point ça me construit de jouer des personnages qui ne sont pas moi. Je ne m'appelle pas Luis [son personnage dans Sirat]. Si je pense comme ça, c'est insurmontable, c'est impossible.
"Pour jouer cette douleur, qui est extrême, il fallait m'abandonner un petit peu, et ne pas vouloir tout conduire, tout contrôler. Il ne fallait pas jouer avec la tête, mais laisser un peu le corps prendre le pouvoir."
Sergi Lopezà franceinfo Culture
Et en fait, je me suis éclaté avec ça. Je dis la joie parce que j'adore jouer. C'est plus difficile de l'expliquer que de le vivre. Quand je joue, je sens que c'est ma place. Et véhiculer ces émotions, être un médiateur entre ce personnage et le public, ça me donne de la joie.
On dit souvent que les acteurs puisent dans leurs propres douleurs pour jouer, ce n'est pas votre cas ?
Sergi Lopez : Non, j'ai constaté, une fois de plus que ma douleur personnelle, on s'en fout. Et surtout, je n'en ai pas besoin. Ce qui m'inspire beaucoup plus, c'est l'imagination. Je peux imaginer quelqu'un qui vit un truc très traumatique, un choc, et qui s'évanouit de douleur. Ça ne m'est jamais arrivé dans ma vie, mais je peux l'imaginer. Et mon corps, il sait réagir à ça. Et avec ce que j'imagine, je rentre dans les scènes.
"J'étais à fond, et en ayant la foi dans ce que j'imaginais, j'ai constaté que mon corps avait des réponses que je ne soupçonnais pas. Et donc, j'ai traversé cette douleur avec beaucoup de joie."
Sergi Lopezà franceinfo Culture
Parce que c'était étonnant de voir que les larmes arrivaient, que mon corps sortait quelque chose, et qu'en même temps, je pouvais me dire que c'était génial, parce que je n'étais pas en train de penser à moi, je n'étais pas en train de souffrir, mais de jouer. Donc, c'était super.
Donc, on peut jouer la douleur dans la joie ?
Sergi Lopez : Oui, enfin ça, c'est l'idéal. La tragédie, c'est du jeu. En français, on dit "jouer".
Oliver Laxe : C'est vrai, en espagnol, il n'y a pas ce mot de "jouer" on dit "acter". Alors qu'en français, en anglais on dit "jouer". Je trouve que c'est beaucoup plus juste.
Est-ce qu'il y aura un avant et un après ce rôle pour vous ?
Sergi Lopez : C'est un rôle de plus. Et c'est un rôle comme aucun autre. Tous les rôles n'ont pas la même intensité. Ils sont différents. Je me rends compte avec le temps que ma carrière professionnelle, ce n'est pas seulement ma carrière professionnelle, c'est aussi mon parcours de vie. Parce que mon métier fait partie de ma vie de façon très profonde. Donc ce rôle, c'est une étape. Je suis un an plus âgé qu'il y a un an. Ça arrive quand ça arrive, et j'essaie d'accepter et d'en faire quelque chose, d'avancer avec ça. Mais oui, forcément, ça m'a marqué. C'est un film très spécial, très particulier, qui m'a emmené dans un endroit où je n'étais jamais allé avant. Je célèbre la vie et mon métier avec ce rôle.
Est-ce que vous aviez l'intention ou envie de bousculer les spectateurs ?
Oliver Laxe : Oui, mais pas bousculer sadiquement ou cruellement. Et c'était compliqué de tenir le fil, d'assumer, parce qu'on savait que ça pouvait être mal interprété. Je voulais que les gens regardent à l'intérieur. Remuer un tout petit peu, gratter un tout petit peu à l'intérieur. J'aime beaucoup la notion de la crise, j'en parle beaucoup, je trouve que la crise, c'est ce qui nous oblige à regarder à l'intérieur, qui nous fait nous connecter avec nous-mêmes, qui nous remet à notre place, qui nous emmène dans la bonne voie. Oui, c'est dur, les crises, mais ce sont des moments vraiment de grosse connexion.
Vous avez fait des choix de mise en scène très radicaux, pourquoi ?
Oliver Laxe : Oui, je vois que des choix stylistiques que j'ai faits dans mon film sont assez crus. Par exemple, le dernier plan du film, un panoramique avec les voies de chemin de fer, bougeait beaucoup, et les équipes des effets spéciaux voulaient le stabiliser pour que le mouvement soit plus fluide, et j'ai dit non, on va le laisser cru. On va le laisser comme ça. Et à la fin du panoramique, on voit le désert, c'est la dernière image. Et là-dessus, j'ai mis une musique que j'ai vraiment tordue, distordue, c'est dissonant. Comment analyser ça ? Qu'est-ce que ça veut dire ? Qu'est-ce que c'est ? Quelle est mon intention ? C'est difficile à dire.
"Je pense qu'avec le temps, ce film sera comme une trace de ce qu'est l'être humain aujourd'hui."
Oliver Saxeà franceinfo Culture
Je fais partie d'une société, donc c'est la société qui s'exprime. Dans 20, 30 ans, peut-être qu'on va comprendre vraiment mon intention et ce à quoi j'étais connecté.
Quel est le rôle du son dans votre film ?
Oliver Laxe : Les cinéastes ont toujours cette impression qu'utiliser de la musique, c'est un peu trahir les images. Je ne suis pas tellement d'accord, je me suis un peu décomplexé avec ça. Et je me suis découvert avec ce film une forte sensibilité musicale, surtout parce que c'était la première fois que je travaillais avec un musicien en tête-à-tête. Il y a même des tracks que l'on a composé ensemble.
"Ce qui m'intéresse dans la musique, c'est que justement que c'est un art qui ne passe pas par le filtre de la tête."
Oliver Laxeà franceinfo Culture
Et moi, mon approche à la musique et aussi du cinéma, et de tous les arts, est très viscéral. Pour moi, l'art est une expérience sensorielle, synesthésique ou sensuelle et j'essaie de faire en sorte que le cinéma s'approche de ça, que quand on passe par la tête, on ne s'y arrête pas trop longtemps, qu'on puisse continuer sa route.
Est-ce qu'il y a quelque chose de mystique dans ce film ?
Oliver Laxe : Le mystique, c'est en rapport avec la spiritualité, avec toutes ces choses qui nous échappent un peu. "Mystique", étymologiquement, vient du mot mystère. Ça m'intéresse le mysticisme, je le lis, j'essaie de le pratiquer, mais j'ai appris aussi que plus tu cherches le mystère, plus il t'échappe. C'est presque un accident de faire des œuvres qui aient un peu de transcendance. Peut-être dans les choix des images, dans la manière de faire le montage.
"Même si c'est un film dur, je crois qu'il y a quand même une sérénité dans le récit. Une sérénité dans un moment où tout le monde a peur."
Oliver Laxeà franceinfo Culture
Je ne sais pas si on a réussi à le faire avec ce film, mais je crois que le cinéma, c'est un art qui peut vraiment dire ce qu'est le mystère. Le mystère, c'est ce qui se cache derrière le monde matériel. C'est ça le mystère. C'est ça le mysticisme. Je pense que le cinéma peut nous faire sentir brièvement que oui, ce désert ce n'est pas qu'un désert, que ces mines, ne sont pas que des mines. Mais ça ne passe pas par la tête. Si tu cherches à représenter le mystère, ça ne marche pas. On ne peut pas représenter le mystère.
Sergi Lopez : Je crois que qu'il y a quelque chose qui est voulu de la part de l'auteur qui rejoint ce mystère qu'est le cinéma. Au cinéma, il y a ce truc, on sait que ce n'est pas vrai et pourtant on est prêt à accepter que ce n'est pas vrai. Forcément, il y a un côté symbolique, même si on fait du cinéma réaliste ou naturaliste. C'est une catharsis collective, et curieuse. Je crois qu'il y a une identification possible avec les personnages, on se projette dans l'un, dans l'autre, on reconnaît des choses humaines familières. Mon personnage, avec ce qui lui arrive, est obligé de regarder l'intérieur, de se demander ce qui se passe, de se demander qui il était, et ce qu'il est à partir de maintenant, ce qu'il fait avec tout ça, et comment il fait pour continuer à avancer.
"Je crois que c'est ça qui est très perturbant et en même temps c'est la grande qualité ou la grande explosion, la grande bombe de ce film, c'est que le public en se projetant dans cette histoire, se confronte à devoir regarder à l'intérieur de lui-même."
Sergi Lopezà franceinfo Culture
Le film propose ce regard intérieur, et ça, forcément, c'est quelque chose de mystique. Ce n'est pas seulement une promenade ou un voyage, c'est une aventure liée à cette question : On est en vie (pour l'instant), qu'est-ce qu'on fait ? Et qu'est-ce qu'on fait avec ce film ?
Oliver Laxe : Moi, j'ai envie de prier avec mes films. Après, est-ce que la prière est forte ou pas ? Je ne sais pas. D'après ce que les spectateurs disent, oui, il y a du mysticisme. Ils disent qu'ils ont l'impression qu'en entrant dans le désert, ils n'entrent pas seulement dans un désert, mais la dimension de l'âme. La musique, aussi, peut faire faire un voyage intérieur profond. La blessure, c'est du mysticisme. C'est un mystère. C'est un côté voilé, un côté auquel on ne connecte pas. Notre blessure est reliée à nos ancêtres. La blessure d'aujourd'hui, c'est l'héritage, c'est la conséquence de toute cette douleur tordue qui n'a pas de genre, qui n'a pas de classe, qui vient d'on ne sait où. Donc oui, tout ça fait partie du mystère du monde.
Ce questionnement intérieur, les questions qui se posent pour les personnages se posent aussi pour la société tout entière et pour le monde et l'humanité tout entière. C'est un film sur la question de savoir où va le monde, où va l'humanité ?
Oliver Laxe : Je pense qu'on est de plus en plus face à un monde qui va nous obliger à regarder à l'intérieur. On va être face à un abîme et cet abîme va nous demander de nous interroger sur ce que c'est que d'être humain. Surtout avec le changement climatique, l'intelligence artificielle et ce vieux monde qui ne veut pas mourir. Et je crois qu'on va être obligés d'être plus humains. Et je trouve que le film parle un peu de ça. Les personnages sont tous des gens très différents, issus de cultures différentes, qui apparemment n'ont rien en commun et la vie leur dit, désolé, mais vous êtes de la même famille de cassés, et serrez-vous bien fort par la main.
Et d'ailleurs à la fin, ils montent tous dans ce train, et on voit tous les visages de l'humanité...
Sergi Lopez : C'est le train des survivants. Et d'ailleurs, quand on a tourné cette scène, c'était un sentiment étrange. Les personnages du film sont là dans le train, avec des figurants. Certains venaient avec un âne, d'autres avec une petite mobylette. On les voyait arriver du désert, et on se disait, ils viennent d'où ? C'était quand même fou, c'était fort de me dire, moi, je suis un acteur, je suis payé, je suis un professionnel de ça, je suis en train de jouer un personnage, et le personnage que je joue, il ramène avec lui une douleur. Il avance avec ça. Et je suis assis là et avec tous ces gens à côté de moi, dans ce train, et je pensais à leurs douleurs à eux, aux douleurs de ces gens qui venaient du Soudan, de la Mauritanie… Ça donne de l'humilité. Enfin, l'humilité de se dire, on est dans le même camp, et chacun avance comme il peut.
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