: Grand entretien Le succès du "Déclin de l'empire américain" a été "une surprise totale" : au Festival d'Angoulême, Denys Arcand dévoile les coulisses de sa carrière
Le réalisateur est un des pionniers du cinéma québécois, à l'honneur au Festival du film francophone d'Angoulême, qui projette une grande partie de sa filmographie.
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Connu pour ses films comme Le Déclin de l'empire américain ou Les Invasions barbares, Denys Arcand est un réalisateur engagé, qui propose à travers ses documentaires et ses longs-métrages de fiction une chronique cinématographique du Québec, sa province, à l'honneur de la 18e édition du Festival du film francophone d'Angoulême, jusqu'au 30 août.
Nous l'avons rencontré mercredi 27 août, à la veille de sa "classe de maître", sous les arbres du jardin des Bardines, ce lieu où toute la crème du cinéma francophone défile du matin au soir à Angoulême pour les photos et les interviews.
Il arrive en rebouclant sa ceinture."Ne vous inquiétez pas, c'est à cause des équipes de la télé qui glissent toujours leurs micros sous la chemise…", plaisante-t-il avant de replier son grand corps dans un fauteuil en osier. Il revient pour franceinfo Culture avec ce bel accent chantant sur sa longue carrière, ses débuts et l'épopée du Déclin de l'empire américain, et nous fait découvrir au passage la définition d'un mot anglais, "serendipity", qui définit selon lui sa fabuleuse trajectoire professionnelle.
Franceinfo Culture : Des projections de presque tous vos films et une "classe de maître" : qu'avez-vous ressenti quand on vous a proposé ce focus sur votre œuvre cinématographique au Festival d'Angoulême ? Comment vous le vivez ce festival qui vous honore ?
Denys Arcand : Une "masterclass", oui… je déteste ça [sourire]. Comment je vis ça ? Je le vis très bien. La hantise de n'importe qui qui réalise des films, comme n'importe qui qui écrit des romans, c'est la durée. C'est la question de savoir si ce que je fais maintenant intéressera encore les gens dans le futur. C'est l'obsession de la durée. N'importe quel geste artistique, comme celui de faire un film, se veut toujours un défi à la mort. C'est fait pour vaincre l'éphémère, pour durer. Il y a très peu de gens qui y arrivent. Si on est un tant soit peu lucide, on sait que les chances de durer sont minimes. Mais on essaie toujours, malgré tout. Et donc, quand il y a une perspective de voir, comme tout à l'heure, une salle pleine qui regarde un film que j'ai fait il y a cinquante ans, je suis content, et je me dis voilà, bravo.
Avec le recul, est-ce que vous savez pourquoi vous avez choisi le cinéma, pour accomplir justement ce que vous appelez un geste artistique ?
C'est en partie le cinéma qui m'a choisi. Quand j'étais collégien, je m'intéressais à l'écriture. Je m'intéressais au théâtre, au jeu théâtral, je jouais dans des troupes au collège, des troupes amateurs, j'adorais ça. J'aimais aussi le journalisme, je me disais, je pourrais faire ça, écrire, écrire aussi carrément du théâtre, de la dramaturge. Mais tout ça, c'était comme un magma. J'adorais le cinéma, mais ça m'apparaissait très lointain. Il n'y avait pas de cinéma qui se faisait au Canada à ce moment-là, sauf des documentaires. Le cinéma, c'était quelque chose qui se faisait à Hollywood, à Paris, à Rome, mais pas chez nous. Donc rêver du cinéma, ça aurait été un peu irréel, un peu abstrait.
Mais alors comment y êtes-vous finalement arrivé, au cinéma ?
Je cherchais un emploi d'été, et je suis allé à l'Office national du cinéma. Ils n'engageaient personne, mais pour être poli, le producteur m'a demandé ce que je suivais comme études. Je terminais une licence d'histoire. Il m'a dit que le gouvernement fédéral leur demandait de faire des films sur l'histoire du Canada pour les écoles. Alors il m'a demandé si je pouvais faire une étude générale sur le sujet, réfléchir aux thèmes qu'il serait bon de traiter, etc. Je lui ai répondu bien sûr, je peux faire ça très bien. Après cette étude, il m'a demandé si je pouvais écrire un scénario, et ensuite, il m'a proposé de réaliser le film.
"Quand je lui ai dit que je ne savais pas faire ça du tout, il m'a dit : 'Je vais vous donner un bon caméraman et un bon monteur, et vous allez apprendre.'"
Denys Arcandà franceinfo Culture
C'était un film documentaire de 30 minutes sur Samuel de Champlain, fondateur de la ville de Québec, un explorateur français du XVIIe siècle, un personnage très énigmatique, mais en même temps avec un courage physique incroyable. Il n'était absolument pas raciste, ce qui est tout à fait étonnant à cette époque-là. Il traitait les Indiens comme des égaux. Bref, ce qui est arrivé, c'est que ce premier film-là a gagné des prix du meilleur court-métrage au Québec et au Canada. Ils m'ont dit, vous allez en faire un autre. Donc vous voyez, en fait, c'est par hasard, de fil en aiguille, que je suis devenu cinéaste.
Vous avez commencé par des documentaires très engagés, sur le syndicalisme, sur le monde du travail, vous étiez très politisé ?
Mon premier grand film s'appelait On est au coton, sur la condition ouvrière. Mais ça ne venait pas d'une volonté d'engagement. Ce n'est pas ça qui m'avait aiguillé vers ce sujet-là. Vous êtes trop jeunes pour avoir connu ça, mais dans les années 1960-1970, le marxisme et le maoïsme sont devenus terriblement à la mode. Il y a de très beaux livres qui ont été écrits d'ailleurs en France, comme Tigre en papier d'Olivier Rolin, un livre merveilleux là-dessus, et aussi des films, comme La Chinoise de Jean-Luc Godard, qui sont sortis à l'époque.
"En France, tout le monde est devenu obsédé par le marxisme. Et c'était la même chose chez nous. Et donc, moi, je me disais : "Il faudrait aller au fond de cette histoire-là. Il faudrait creuser ça. Est-ce qu'il y a vraiment une révolution prolétarienne qui s'en vient ?"
Denys Arcandà franceinfo Culture
En plus, moi j'étais étranger à tout ça, parce que je venais d'une famille de marins. Et les marins, ce sont des gens généralement très peu politisés. Ils vivent sur la mer. Et sur la mer, il n'y a pas de territoire, il n'y a pas d'usine, il n'y a pas de propriétaires terriens. On est sur la mer, on voyage. J'étais donc très curieux de cette question de la révolution.
Et donc, j'ai fait ce film sur les usines du textile pour me rendre compte à la fin qu'il n'y avait pas de révolution qui s'en venait ! Il n'y en aurait pas. Ça ne changerait pas. Ce que les ouvriers voulaient avoir, c'étaient des réformes. Des réformes paisibles. Ils voulaient moins d'heures de travail, un meilleur salaire, changer de voiture. Cette conclusion m'a valu d'être mis au ban de tous les théoriciens politiques qui peuplaient le paysage à ce moment-là.
Donc votre cinéma n'était pas un cinéma d'engagement politique ?
Non, pas du tout. Des problèmes intellectuels qui se posaient à moi, je les résolvais en faisant des films.
Donc plutôt un travail d'historien, de sociologue ?
Oui, c'est ça, des questions sociologiques ou philosophiques. J'essayais de régler ces problèmes-là pour moi-même. Et donc, ça donnait des films. Et j'ai continué comme ça.
Et la fiction, comment est-elle arrivée ?
Le hasard. Un jour, j'ai tourné comme comédien dans un film, un petit rôle pour un copain qui était producteur réalisateur et qui m'a dit : mais pourquoi tu ne ferais pas un long-métrage ? C'est toujours ça qui s'est passé. Connaissez-vous le mot anglais "serendipity" ? La "Serendipity", c'est se laisser porter par des hasards heureux. Ce qui a toujours été mon cas.
C'est aussi de cette manière que le succès vous est tombé dessus ?
Mon premier long-métrage, qui s'appelait La Maudite galette, a été vu pour la première fois par des spectateurs non pas au Québec, mais à Poitiers. À côté d'ici. J'étais un peu terrorisé. Je me demandais comment ça allait être reçu. Et puis ça a été très bien reçu. Et là, je croise le secrétaire général de la Semaine de la critique de Cannes qui me propose d'aller à Cannes. Donc, avec mon premier film, je suis allé à Cannes. Avec mon second aussi, l'année suivante, cette fois-là, à la Quinzaine des réalisateurs.
Et puis il y a eu "Le Déclin de l'empire américain", en 1986, qui vous a propulsé sur la scène internationale, c'était une surprise, non ? Comment avez-vous vécu cet épisode de votre carrière ?
Très bien. Le succès, ça se vit très très bien. C'est parfait. Et oui, c'était une surprise absolument totale. J'ai fait ce film-là à Montréal, dans le plaisir, sans penser à la suite. Et puis j'ai envoyé une copie de montage à Gilles Jacob, qui, lui, est devenu totalement angoissé avec ce film-là. Il disait : "Est-ce que je peux présenter ça dans la grande salle ? J'ai peur que mon public ne l'accepte pas. Mais peut-être que je devrais le présenter…" Il ne se décidait pas et moi, j'attendais, parce qu'à l'époque, j'avais une seule copie de travail. Et c'est lui qui l'avait.
Vous en aviez besoin ?
Oui, parce qu'il fallait que je finisse le film. Il n'était pas mixé. Alors je lui disais, prenez la décision que vous voulez, mais rendez-moi ma copie s'il vous plaît. Et de l'autre côté, il y avait Pierre-Henri Deleau qui lui était à la Quinzaine des réalisateurs, qui disait : "Si ce con ne le prend pas, moi, je ferai l'ouverture. Il va le regretter toute sa vie." Gilles Jacob finalement ne l'a pas pris, pas parce qu'il n'aimait pas le film, mais parce qu'il pensait que ça allait choquer son "public bourgeois". Donc il me renvoie ma copie, je finis le film, je l'envoie à la Quinzaine des réalisateurs. Et entre-temps, comme personne n'avait vu le film, à part ces deux-là, je le montre au directeur de la production de l'Office national du film. Il vient avec ses deux secrétaires, deux dames, très bien, très dignes. Ils sont trois, ils regardent ça et ils sont catastrophés.
Quand je rentre de la salle de projection, il me dit : "Tu t'en vas à Cannes avec ça ? Bon, ben, écoute, bonne chance. J'espère que ça va bien aller ." Alors moi, je suis convaincu que j'ai fait un navet, que ça va être horrible. J'ai déjà vu des films se faire siffler à Cannes. Je ne sais pas si vous avez déjà vu ça ? C'est l'horreur, c'est épouvantable. On ne veut pas vivre ça. Non, ça c'est sûr. C'est un martyre.
Dans quel état d'esprit avez-vous attendu ce festival ?
Je me suis dit, alors là, j'oublie tout. C'était avant l'époque des portables. Et donc, je pars. Je me suis arrêté à un colloque en Belgique pour voir des amis. Après ça, je voulais voir une peinture de Matisse à Berne, et donc, en train, je me suis arrêté à Berne. Après ça, je suis passé par les lacs italiens.
En fait, vous avez fait tout pour qu'on ne puisse pas vous joindre ?
C'est ça, mais inconsciemment. Je me suis dit, bon, je vais arriver à Cannes au dernier moment, le jour de la projection. Je souffrirai le martyre et tant pis. Et je fais ça, je vais voir les palais de Gênes, et je reviens en train par le petit tortillard qui passe le long de la côte, qui passe par San Remo, et j'arrive à Cannes le jour de la projection. Là, j'espère qu'ils m'ont réservé une chambre. Je vais voir l'administration des films canadiens. Je sors de l'ascenseur, et là, il y a une fille qui hurle. Elle dit : "Il est là ! Qu'est-ce que tu faisais ? Où étais-tu ?" Je lui dis bon, calmons-nous, la projection, c'est ce soir. Et là, elle me dit "ça va être un triomphe, on a fait une projection à Paris pour les journalistes. C'est du délire !" Je me suis dit, c'est impossible, mais je suis allé me changer en vitesse. J'ai enfilé mon costume noir, qui était tout fripé au fond de la valise, et quand je suis arrivé, il y avait une émeute devant le Palais des Festivals. Des gens partout, qui voulaient entrer, qui cherchaient des billets.
Et ensuite ?
À la fin de la projection, les gens se lèvent et applaudissent pendant 20 minutes. Essayez de songer à ce que vous auriez comme attitude si ça vous arrivait. Vous vous levez, vous vous rassoyez. Ça continue. Ça applaudit encore. Il y avait juste une comédienne avec moi, qui était venue par hasard parce qu'elle était en Europe. Et elle s'était dit, je vais aller encourager Denys. "Pauvre de lui, ça va être un four. Je ne vais pas le laisser seul." Alors, elle était là avec moi. On était tous les deux. On était sidérés. On ne savait pas quoi faire. On ne savait plus où se mettre. On était au balcon. C'était fou.
Comment expliquez-vous ce qui s'est passé ?
Comment ont-ils su qu'il y avait ce film-là ? Pourquoi ? C'est très mystérieux. Dans ses mémoires, Elia Kazan raconte que quand il a réalisé son film Sur les quais, le film prend l'affiche à New York un jeudi midi. Lui, il passe en voiture. Il veut voir si le public est là, et il découvre une queue qui faisait la longueur de deux blocs de New York. Et il ne comprend pas pourquoi tous ces gens sont là, comment ils ont su que ce film passait là.
Le bouche-à-oreille ?
Même pas. C'est un mystère. Il n'y a pas eu de bouche-à-oreille, le film n'a pas encore été montré. C'est la première projection. C'est avec un comédien inconnu qui s'appelle Marlon Brando. Personne ne l'a jamais vu. C'est le deuxième film d'Elia Kazan, son premier a été un échec. Alors pourquoi cette foule ? Il écrit dans son livre que le succès est un mystère. C'est un mystère absolu. On ne sait pas. C'est l'air du temps. C'est comme dans la religion. Et c'est ce qui s'est passé pour Le Déclin de l'empire américain.
Est-ce que vous allez au cinéma voir les films des jeunes réalisateurs québécois ? Qu'est-ce que vous pensez de cette nouvelle vague ?
Déjà, je voudrais bien savoir ce qu'on entend par la "Nouvelle vague québécoise". Mais surtout, je vais de moins en moins au cinéma, et c'est une chose qui m'inquiète. Ça m'inquiète dans le sens où j'écris sur ce sujet-là précisément en ce moment. J'essaie d'écrire un livre de souvenirs, d'anecdotes, de choses comme ça. Pourquoi je ne vais plus au cinéma ? Qu'est-ce que ça signifie ? Est-ce que ça signifie que je suis sénile, fermé, vieillard, obtus ? Je lis plein de romans tout le temps, des romans des essais, des choses comme ça. J'adore les spectacles de danse, je vais écouter de la musique… C'est le cinéma qui ne m'intéresse plus.
En plus, vous avez dit après votre dernier film, Testament, que vous ne vouliez plus faire de cinéma, c'est vrai ?
Non, je n'ai pas dit que je ne voulais plus en faire. J'ai dit deux choses. La première, c'est que j'ai eu l'impression, en finissant mon dernier film, Testament , que j'avais dit tout ce que j'avais à dire. Ça, c'est une impression. La deuxième chose, c'est que tous mes films sont venus, sauf au tout début où j'ai fait du cinéma un peu alimentaire, d'une sorte de nécessité intérieure. À chaque fois, je me disais, il faut faire un film là-dessus, il faut dire ça, il faut montrer ça. Ça peut paraître un peu ronflant mais je ne trouve pas d'autre mot que ça, "une sorte de nécessité intérieure".
Et là, maintenant, je n'éprouve plus ça. Mais ça ne veut pas dire que demain matin, je ne me lèverai pas et que dans ma douche, il va y avoir une lumière qui va s'allumer au-dessus de ma tête, comme dans les dessins animés, et je vais réaliser un autre film. Donc, voilà où j'en suis pour le moment.
Pensez-vous que le cinéma peut encore sauver le monde ?
Toujours. Mais ce n'est pas juste le cinéma, c'est tout le mouvement artistique. Le cinéma, ça fait partie d'un magma qui comprend aussi les écrivains, les gens qui font du théâtre, les gens qui font des performances. Ce mouvement-là, le grand mouvement artistique, c'est sûr que ça peut faire changer le monde. Si vous lisez les auteurs russes du XIX siècle, la révolution s'en vient de là, c'est sûr. Et le XVIIIe, français, c'est pareil. C'est Diderot, Beaumarchais, etc. La Révolution française s'en vient de là aussi. On sent ça, donc oui, c'est sûr ça peut faire changer le monde. Mais ce n'est pas un film, c'est la masse critique, c'est tout le poids artistique, qui fait changer le monde. Ça, c'est sûr.
Et vous avez l'impression d'y avoir apporté votre petite pierre ?
Une petite goutte dans l'océan. C'est ça la beauté de ce métier-là et c'est ça aussi notre justification. Si c'était juste du show-business, ça ne serait pas si intéressant. Si ça fait partie de la vie, si ça fait partie de l'évolution de la société, et bien tant mieux.
Comment définiriez-vous votre cinéma, avec le recul, aujourd'hui ? Est-ce que ce que vous avez voulu faire, c'est résoudre des équations philosophiques avec des films divertissants ?
Ce serait plutôt à vous de dire ça, aux autres, de définir mon cinéma. Mais oui, c'est un peu ça. Je n'ai rien inventé. Personne n'a inventé la roue. Molière, quand il fait son Tartuffe, c'est ça qu'il veut faire. En même temps, il faut que ce soit plaisant. Ce n'est pas juste un truc scolaire. C'est agréable à voir, c'est drôle, c'est tout ça. Mais en même temps, méfions-nous des dévots, ce sont des hypocrites. Gogol, quand il fait Les Âmes mortes, ou les œuvres de Tchekhov, c'est la même chose. C'est à la fois dire qu'une situation ne peut pas durer, et en même temps raconter une histoire qui est touchante, attachante, avec des rebonds dramatiques. Il faut plaire, il ne faut pas faire le maître d'école.
Focus Denys Arcand, Festival du film francophone d'Angoulême, du 25 au 30 août 2025
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